Pour cette édition 2025, de nombreux lots seront à gagner grâce à nos partenaires : JAMA & la revue « Espèces ». Le concours est ouvert dès aujourd’hui (12/04/2025) et sera clos le (12/05/2025).
Il y a deux thèmes : « Rose » et « Monde endormi ».
MODALITÉS D’INSCRIPTION
Pour participer, il vous suffit :
De prendre connaissance du règlement du concours à télécharger
3. D’envoyer par mail à l’adresse suivante (contact@anuma.fr) la photo de votre choix (une seule photo autorisée) pour l’une des deux catégories en format .jpg ou .png.
Pour cette édition 2024 nous avons le plaisir d’avoir La Salamandre & Nat’images comme partenaires. Le concours est ouvert dès aujourd’hui (12/02/2024) et sera clos le (12/03/2024). Il y a deux thèmes : « Blanc » et « Cache-cache ».
MODALITÉS D’INSCRIPTION
Pour participer, il vous suffit :
De prendre connaissance du règlement du concours à télécharger
2. D’envoyer par mail à l’adresse suivante (contact@anuma.fr) la photo de votre choix (une seule photo autorisée) en format .jpg ou .png.
Bonne chance à tous !
Bonjour à toutes et à tous,
Nous sommes heureux de vous annoncer enfin les résultats de notre concours photo 2024.
Nous avons cette année comptabilisé 20 participations avec de très belles photos, le choix n’a pas été simple mais les membres du bureau constituant le jury vous proposent le classement suivant.
Les photos ont été classées selon les critères de qualité, de respect du thème et de l’originalité.
Pour la catégorie CACHE-CACHE.
En 3ème position : une photo de Egenschwiller Quentin. “A l’abri des regards, ou presque…”
En 2ème position : une photo de Raux Maxime : “Cryptique”
Enfin en 1ére position : Gili Lisa : “Insaisissable Ascalaphe”
Pour la catégorie BLANC.
En 3ème position : une photo de Morandini Mattias : “Témoignage”
En 2ème position : une photo de Vandaele Lou : “Oedemère noble sur Marguerite”
Enfin en 1ére position : Pénagé Nais : “Brise d’été”
Enfin pour la catégorie COUP DE COEUR, le jury à choisi une photo de Borriglione Marie : “cache-cache au milieu des éponges »
Said Isaac Le roi sans couronne
Egenschwiller Quentin. A l’abri des regards, ou presque…
Ginosian Achot Un Accenteur Alpin et de la neige rocheuse
Carlier Pascal Belzébuth
Borriglione Marie cache-cache au milieu des éponges
Daire Alexis Cachée dans les vieilles forêts
Lebarbay Elodie Cardamine des prés en fin de saison dans une zone humide
Longchamp Henri Coucou !
Raux Maxime Cryptique
Schneider Louhane Peek a Boo
Serin Guillaume L’arbre à nuages
Gili Lisa Insaisissable Ascalaphe
Vandaele Lou Oedemère noble sur Marguerite
Lamotte Sandra Pique-ture Yellow
Morandini Mattias Témoignage
Berle Yannis Pomme de rainette
Piriou Ewen Hibou juvénile dans sa cachette feuillue
Ertzscheid Noa Par une chaude journée d’hiver, un bourdon au repos
Comme chaque année, depuis 1967, a lieu le comptage des Wetland. Le comptage Wetlands est un recensement international annuel des populations hivernantes d’oiseaux d’eau sur les zones humides. Ce comptage vise notamment à obtenir une estimation de la répartition des effectifs des populations d’oiseaux d’eau sur les différentes voies de migration ; grâce à cela on peut estimer la taille des populations ainsi que leur tendance, et ainsi dresser des statuts de conservation et mettre en place des plans internationaux pour éviter le déclin de certaine population.
Ce comptage a lieu à la mi-janvier en plein hiver, mais avant cela, il est réalisé un comptage juste avant la saison.
C’est à cette occasion que ANUMA a participé au comptage de l’Etang de Berre qui a pour coordinateur Patrick Höhener. Nous nous sommes rendus sur le site des Salins du Lion, une formidable réserve ornithologique qui borde l’Etang de Berre à côté de l’aéroport de Vitrolle.
Ici, énormément d’oiseaux d’eau viennent passer l’hiver. Sur place, nous avons pu rencontrer l’ornithologue Claude Falke qui nous a donné pour mission d’identifier les oiseaux plus petits et furtifs qu’il avait du mal à voir. Lui et ses collègues ont compté les espèces plus évidentes à distinguer mais qui étaient en très grand nombre, tels que les mouettes rieuses et les flamants roses ; le fait de séparer les tâches permet d’éviter de surcompter certaines espèces.
Cela a été l’occasion d’apporter notre contribution mais aussi d’apprendre plein de choses, notamment sur l’identification des oiseaux, que l’on soit débutant en ornithologie ou ornithologue plus confirmé.
Voici la liste des espèces comptés sur cette session aux Salins du Lion :
2 Sarcelles d’hiver (Anas crecca)
42 Canards colverts (Anas platyrhynchos)
1 Canard souchet (Anas clypeata)
2 Canards domestiques (origine non naturelle) (Anas platyrhynchos f. domestica)
Pour la saison de migration des passereaux nous avons pu accompagner Aurélien Audevard, bagueur professionnel de la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux), et toute son équipe : Carlota Ronceux en service civique, Emma Elis une bagueuse ainsi qu’Alain Abba, lors d’un bagage au Canton d’Hyères dans le marais de l’Estagnets.
Nous avons ainsi pu découvrir le protocole mis en place et la manipulation en elle-même.
Nous sommes arrivés à 6h30 sur site (lever du soleil prévu vers 7h27), au vu de la météo il était nécessaire que chacun ait de grandes bottes de pluie, la séance du samedi a dû être annulée à cause des fortes pluies et celle du dimanche a dû être écourtée.
Vers 6h45 après notre arrivée au spot nous avons ouvert les filets et disposés les repasses (boîte sonore permettant la diffusion de chants d’oiseaux les incitant à passer par là). Une fois que les 87m de filets furent ouverts nous sommes retournés au campement et avons attendu environ 30min avant d’aller démailler les oiseaux.
Nous avons pu parler avec les experts durant ces moments d’attente et avons beaucoup appris, nous participions à un protocole PHENO (dont l’objectif est de renseigner sur les variations de migrations de phénologie migratoire des passereaux entre individus dans l’espace et dans le temps). Au bout des 30 min nous passons à chaque filet en récupérant les oiseaux avec une technique de démaillage précise, permettant de ne pas faire de mal aux oiseaux puis ils sont mis dans un pochon (sac en tissu individuel) leur évitant le plus de stress. Une fois de retour au campement nous procédons aux mesures et au bagage filet par filet. Les mesures permettent de connaître la longueur des ailes, la longueur des tarses, la masse des oiseaux ainsi que leur adipe (taux de graisse de l’oiseau). Leur espèce, leur sexe, et leur âge sont aussi renseignés.
On procède à un contrôle si l’oiseau est déjà bagué ou à un bagage s’il ne l’est pas. Dès que les mesures sont prises, l’oiseau est relâché le plus rapidement possible pour lui éviter le plus de stress et d’habitudes possibles.
Lors de ces mesures nous avons pu apprendre à manipuler un oiseau, la manière de le tenir sans lui faire mal et sans lui imposer de gros stress, un oiseau ne pouvait être manipulé au maximum que par 2 manipulateurs différents pour lui éviter une accoutumance. Nous avons aussi appris à renseigner les mesures dans le tableau prévu à cet effet.
Au total nous avons pu comptabiliser 50 oiseaux de 9 espèces différentes. Nous avons donc vu :
– Fauvette à tête noire, Sylvia atricapilla (17 bagués, 1 contrôle)
– Roitelet à triple bandeau, Regulus ignicapilla (2 bagués)
– Bouscarle de Cetti, Cettia cetti (1 baguée)
Encore un grand merci à Aurélien Audevard, Carlota Ronceux, Emma Elis & Alain Abba pour nous avoir permis de venir sur site et de partager avec nous leur expérience !
Ci-dessous, quelques photos prises lors du bagage
Mésange bleue (migration du Nord), Cyanistes caeruleus
Mésange bleue (migration du Nord), Cyanistes caeruleus
Fauvette mélanocéphale, Curruca melanocephala
Bouscarle de Cetti, Cettia cetti – en prise de mesures par une professionnelle-
Roitelet à triple bandeau mâle, Regulus ignicapilla
Roitelet à triple bandeau mâle, Regulus ignicapilla
Rougegorge familier, Erithacus rubecula
Mésange bleue, Cyanistes caeruleus – apprentissage de la bonne tenue de l’oiseau-
Avec 10 adhérents de l’association, nous avons passés la journée du 05/02 en Camargue pour observer l’avifaune.
De 8h30 à 12h, nous avons observés les oiseaux du littoral/ de l’étang de l’impérial puis nous nous sommes rendus au niveau de la pointe de cacharel pour manger puis pour reprendre nos observations jusqu’à 15h.
Malgré un vent assez soutenu (surtout l’après-midi), nous avons pu passer une bonne journée remplie de belles observations avec beaucoup de premières observations pour les participants. Pour rappel, veuillez trouver ci-dessous la liste des espèces remarquables observées lors de la sortie.
Merci à tous pour votre participation, au plaisir de retourner sur le terrain à vos côtés.
Pour cette édition 2023 nous avons le plaisir d’avoir Tragopan comme partenaire. Le concours est ouvert dès aujourd’hui (20/02/2023) et sera clos le (20/03/2023). Il y a deux thèmes : « Jaune » et « Interactions ».
MODALITÉS D’INSCRIPTION
Pour participer, il vous suffit :
De prendre connaissance du règlement du concours à télécharger
Chaque année nous participons au comptage Wetlands. C’est un comptage international des oiseaux d’eau. Il vise à connaître les dynamiques de population des oiseaux hivernants. Cette année le comptage a eu lieu le 15 janvier sur le complexe de l’Etang de Berre avec la LPO PACA.
Ce compte-rendu concerne la baie de la Durançole et la centrale EDF de Saint-Chamas.
Cygnes tuberculés
Au total, nous avons contacté 31 espèces, et un total de 1058 individus.
Cette année, et pendant tout le mois de mars, les photographes naturalistes d’ANUMA ont concourus. Un seul thème était proposé: « Majestueux ». Les candidatures étaient possibles du 1er mars au 1er avril 2022. Nous réalisons ce concours photo depuis maintenant 2013 et cela nous tenait énormément à cœur de continuer ce concours une fois de plus.
Nous avons pu collaborer avec la librairie Quae ainsi que la LPO cette année, ce qui nous a permis de mettre en valeurs les photographes d’ANUMA. Le jury s’est réunis le 10 avril afin de sélectionner toutes les photos gagnantes selon les critères suivants :
la qualité visuelle
l’originalité de la conception
la pertinence vis-à-vis du sujet
Les lots des gagnants étaient au nombre de 7, ce qui a permis de distribuer beaucoup de lots aux participants.
Les 7 lauréats du thème « Majestueux »
Premier prix : Théo Bonnefous, « Pêche miraculeuse » – Une semaine passée dans les îles à l’Est de la Norvège avec mon ami Johannes Shroader qui suit et bague les pygargues chaque années !
Troisième prix : Yann Nouvelot, « L’or blanc et son élégance » – Durant la période de reproduction, les renards sont beaucoup plus actifs en journée comparer aux autres saisons. Trop occupés à se courir après pendant la nuit ils peuvent en oublier d’aller chasser. Ce qui ouvre un fort appétit au petit matin et donc pas de répit. Que le mulotage commence !
Quatrième prix : Léa Bartoli, « Corneille noire prenant son envol » – Dans les terres de Fuerteventura, une corneille noire vient chercher de quoi se nourrir à un mirador habituellement prisé des touristes. Nous sommes en décembre 2021 et ces derniers ne sont pas revenus en nombre sur l’île, mais cet oiseau majestueux reste peu farouche et va volontiers quémander aux quelques personnes présentes.
Cinquième prix : Ryan Boswarthick, « La rareté ultime en plein centre ville » – Tarier de la Caspienne… 3e mention française de la sous-espèce, présente en plein centre ville de Nice. Paré et posé pour identifier la sous-espèce (demandant une photo de la queue pleinement déployée), l’individu a décidé de se poser à 5 mètres de moi, avec un fond plein de chaleur, seul sur sa petite branchouille. Une lumière magnifique est venue illuminer son œil, juste génial.
Cette année, il y a eu plus de 30 participants au concours photo pour un seul et unique thème qui n’était pas facile. Nous n’avons malheureusement pas pu récompensé tous les participants mais nous tenions à en féliciter quelques-uns qui ont marqué et nous ont particulièrement touché lors du Jury du concours…
Voici maintenant les photos des autres participants que nous remercions énormément. Même si elles n’ont pas été sélectionnés par le jury, ce sont de très belles photos qui méritent d’être mises en valeur :
Le comptage a été réalisé tout autour de l’étang de Berre et plusieurs bénévoles étaient responsables des différents sites d’observations. Nous avons proposé aux adhérents d’ANUMA d’être affilié à un site ainsi qu’à un responsable.
Samedi 9 octobre 2021, nous avons organisé une visite nocturne du Muséum d’histoire naturel de Marseille. C’est la deuxième année que nous organisons cette soirée en collaboration avec le personnel du Muséum et nous en sommes très heureux.
Cette année, nous nous étions donné rendez-vous à l’entrée du Muséum à 18h30. Une fois réuni, les 34 adhérents se sont disposés en 3 groupes distincts d’environ 10 personnes. Nous avons tout d’abord été accueilli au Muséum et le déroulement de la soirée nous a été expliqué à tous. Les 3 groupes ont ainsi pu tourner autour de trois ateliers :
@Ryan Boswarthick
1 – Tout d’abord, une visite guidée de l’exposition permanente du Muséum nous a été proposée au rez-de-chaussée. Après 10 mois de travaux, un entretien des collections et une mise à jour des contenus scientifiques, le Muséum a créé ce nouveau parcours permanent cette année. Plusieurs échantillons exceptionnelles nous ont été présentés, comme un authentique crâne de mammouth laineux, une ammonite nacrée de Madagascar, des espèces de reptiles et d’oiseaux empaillées mais également le mosasaure de plus de 7 mètres de long. Cette visite de 45 minutes a permis aux adhérents d’apercevoir une biodiversité riche, rare et parfois méconnue du grand public.
@Ryan Boswarthick
@Ryan Boswarthick
2 – Une seconde visite était proposée dans la salle de Provence et un échange avec des professionnels du Muséum était possible par la suite. Dans la salle de Provence, il était possible d’admirer plus de 100 espèces d’oiseaux, et ensuite de contempler différents échantillons (parmi les 600 000 échantillons présents dans les collections non ouvertes au public) de reptiles, amphibiens, lépidoptères, odonates, crustacés, plantes et d’échantillons de fossiles triés en fonction de leurs apparitions chronologiques au fil de l’évolution. Quelques mammifères empaillés étaient présents en fond de pièce pour conclure cette belle pièce, avec notamment un loup empaillé qui fut le dernier loup vivant tué sur Marseille à Château-Gombert. Puis, pour conclure cette visite, un échange avec le conservateur du Muséum était possible, nous pouvions lui poser des questions très générales sur les métiers et les emplois du Muséum mais également sur les questions de recherches qui gravitent autour du Muséum.
@Ryan Boswarthick
3 – Enfin, la projection d’un documentaire a été possible dans la salle de conférence. Cette année, nous avons décidé de mettre en lumière un artiste/peintre : Laurent Willenegger et son projet fou appelé “La grande année”. Pendant une année bissextile, cet artiste est parti peindre une aquarelle tous les jours au cœur de la nature. Ce passionné de dessin naturaliste a permis de mettre en lumière cette discipline et de peindre in situ plusieurs animaux dans leurs milieux naturels (comme un hibou moyen-duc, un faucon pèlerin, une bergeronnette grise…). Ces moments naturalistes permettaient de mettre en avant cette discipline qui touche à la fois l’écologie, l’éthologie, l’anatomie et l’art. Projeter ce documentaire au Muséum d’histoire naturel de Marseille permettait de faire un clin d’œil aux illustrations scientifiques des anciens grands explorateurs scientifiques qui sont exposés au MNHN de Paris.
@Louis Aureglia
Pour conclure cette soirée, les membres d’ANUMA avaient prévu un petit buffet dans cette même salle de projection afin de pouvoir discuter de la soirée et de se trouver un petit moment ensemble.